Catégories : Aux pieds des femmes
il y a 9 ans
Elle portait des chaussures noires
Auteur : inconnu
Je l'ai rencontrée dans une taverne locale, un soir après le travail. Elle était assise au bar, seule, et savourait lentement un Martini. Je l'ai regardée presque tout le temps pendant 45 minutes et j'ai finalement décidé de lui offrir une autre boisson. Elle leva les yeux vers moi quand le serveur lui apporta la boisson, et esquissa un demi-sourire.
Elle était une des femmes les plus jolies que je n'avais jamais vues. Ses cheveux noirs étaient coupés assez court, mais pas trop. Elle portait un tailleur gris à rayures avec des bas gris foncé. Sa jupe remontait une bonne quinzaine de centimètres sur ses genoux magnifiques, du moins de ce que je pouvais jauger sans la scruter de façon trop effrontée.
Mais j'imagine que l'attraction qu'elle exerçait sur moi était même trop évidente.
Elle portait des chaussures noires avec des talons aiguilles qui faisaient au moins dix centimètres : comme j'ai un penchant pour les pieds féminins, j'ai essayé de profiter pour regarder ses jambes et ses pieds autant que possible, tout en essayant d'éviter de donner l'impression de la dévisager constamment.
Environ une demi-heure après, elle se leva pour aller aux toilettes. Elle était grande, je dirais plus de 1m80 avec ses talons, et vraiment très bien proportionnée. Ma bouche s'assécha quand elle passa à côté de moi en allant aux toilettes.
Ses pieds étaient magnifiques, et les talons les mettaient vraiment en valeur, au moins pour moi : j'ai eu l'impression qu'il se passait une éternité entre le moment où elle se leva, et le moment ou elle passait à côté de moi.
En me frôlant, elle sourit, mais ne dit rien. De mon côté, trop timide, je retournais le sourire, mais je n'osais rien dire. Pendant qu'elle s'était absentée, je commandais un autre whisky, et, voyant son verre de Martini vide, je lui en fis apporter un autre. Peu après, je sentis une main sur mon épaule, et je me retournai pour me retrouver perdu dans deux paires d'yeux bleus splendides.
« Merci pour l'apéritif... vous m'avez offert celui-là aussi ? »
« Je vous en prie... et... oui »
« Faite-le apporter ici. Je m'appelle Rosa » elle me tendit la main, et je fus ravi de la lui serrer.
« Je suis Bob Voyager, pour vous servir »
« J'ai pensé que si je venais plus près de vous, vous auriez moins de mal à me regarder. Est-ce qu'il y a un problème avec mes chaussures ? Vous semblez fasciné avec quelque chose, là-bas ». Elle allongea sa jambe, pour que je puisse regarder mieux.
« Non, rien, je... je pense que ce sont magnifiques »
« Hmmm... pas tous les hommes font attention aux chaussures que porte une femme. Du moins, je ne trouve pas trop d'hommes qui paraissent hypnotisés par une paire de talons. »
Sur le coup, je me retrouvais la bouche béé, et incapable de sortir une phrase sensée, mais je finis pour expliquer plus ou moins que j'étais un fétichiste des pieds féminins, et particulièrement quand ils étaient enrobés dans des bas, et des chaussures à hauts talons, exactement comme elle en portait en ce moment. Elle étira son autre jambe aussi, en apparence pour l'admirer et la jauger par elle-même. Puis elle se retourna vers son Martini.
« Au moins, vous avez bon gout », elle murmura dans son verre.
N'ayant pas vraiment compris, je lui demandais de répéter, et elle me regarda mal, en disant qu'elle n'avait pas l'habitude de répéter les choses. Mais après son regard s'adoucit quelque peu et elle continua.
« Je disais, au moins vous avez bon gout. Je sais que j'ai de très jolis pieds, et je porte toujours les talons les plus hauts que je peux, tout en restant confortable. Faites plus attention quand je parle. »
« Excusez-moi. Je suis complètement de votre avis. Non seulement vos pieds et vos jambes sont magnifiques, mais vous êtes aussi l'une des femmes les plus belles que je n?ai jamais vues. Et je vous jure que je suis sincère. »
« Merci. Terminez votre whisky, et montez avec moi à mon appartement : on prendra un autre verre, et on pourra parler un peu. C'est plus tranquille là haut. »
« J'en serais ravi. » J'ai avalé mon whisky d'un coup, j'ai réglé la note, et je l'ai suivie immédiatement.
On a marché pour quelques centaines de mètres, puis on est arrivés à un édifice très haut. Le portier l'a saluée comme Mademoiselle Leonetti, puis nous avons pris l'ascenseur et nous sommes montés jusqu'au dernier étage. Dans l'ascenseur, je gardais mon regard sur le sol, qui avait le privilège d'être en contact avec ses pieds. Je l'enviais ! Quand nous sommes arrivés, je pus voir qu'il n'y avait que deux portes sur le palier : les appartements devaient être énormes. Elle ouvrit l'une des deux portes, et entra ; je la suivis.
Il y avait d'énormes baies vitrées, qui donnaient une vue imprenable sur la ville : on était au moins cinq étages plus haut que tout autre édifice dans les parages. Elle s'assit royalement sur un canapé en cuir, et en indiquant le bar, me dit de lui préparer un Martini, et de prendre ce que je voulais. Je préparais et j'apportais les apéritifs ; elle tapota sur le canapé à côté d'elle et me fit signe de m'asseoir.
« Ce fétiche pour les pieds des femmes dont vous parliez a éveillé ma curiosité. »
Elle croisa les jambes, en plaçant son pied bien devant moi. Elle le faisait osciller en haut et en bas, en s'amusant de mon embarras, qui était plus qu'évident.
« Il parait que j'attire les hommes comme vous. La plupart de ces hommes feraient tout pour me faire plaisir. Est-ce votre cas aussi ? »
« Bien sûr, Rosa, la plupart des hommes adorent faire plaisir aux belles femmes, je crois. »
« Quand je dis « faire P L A I S I R » je parle d'autre chose. Je suis une femme très exigeante. Je m'attends d'être servie et satisfaite sans réserve. Il peut même m'arriver, des fois, de faire souffrir horriblement des hommes, juste parce que cela me fait plaisir. Je suis une vraie sadique, j'aime être gâtée en tout, et je ne compte pas changer. Vous pensez être prêt à me faire plaisir de cette façon? »
« Je... je pense que si, ... oui. »
« Bien, peut-être qu'on pourra s'entendre alors. Préparez-moi un autre drink.
Vous, par contre, vous n'en prendrez pas. »
« Bien sûr, Rosa, la même chose ? »
Elle me gifla violemment, plus fort de ce qui m'était jamais arrivé avant, et avec les larmes qui me montaient aux jeux, je la regardais, et je voyais qu'elle était enragée, sans savoir ce que je pouvais avoir fait de mal.
« Tu m'appelleras Maîtresse, ou Votre Altesse, ou Maîtresse Rosa, c'est CLAIR ? »
« Oui, Maîtresse ! »
Elle me gifla à nouveau, mais moins fort, et m'enjoignit de lui apporter son Martini.
« Pousse la table basse en arrière, et mets-toi à genoux devant moi »
« Oui Maîtresse »
Je suis quelqu'un qui apprend vite, et je ne voulais pas qu'elle me frappe à nouveau.
Je m'agenouillais devant elle, et je la regardais dans les yeux. Elle était encore fâchée. Je pensais que je devais dire quelque chose.
« Maitresse, je suis désolé de m'être adressé à vous avec un ton si familier. Cela ne se reproduira plus. C'est un plaisir et un honneur d'être en votre présence : vous êtes magnifique. »
Son regard s'adoucit un peu. « Tu auras vraiment de quoi être désolé, tu ne perds rien pour attendre, et tu auras tout le temps d'apprendre comment on traite une Maitresse, et comment on est traité par Elle. Maintenant, couche-toi et mets ton visage sur le sol, entre mes pieds. »
« Oui, Votre Altesse » et je fis comme elle avait dit.
Je pouvais sentir l'odeur de ses souliers en cuir, mélangé à l'odeur de sa transpiration. L'effet, en s'ajoutant à l'humiliation d'être ainsi à ses pieds, était dévastateur, et je me retrouvais avec une érection galopante.
« Tourne ta tête de côté, et regarde bien mon magnifique pied. Cela m'étonne toujours, le pouvoir que j'ai sur les mâles de mon espèce. Il suffit que j'agite un peu un de mes jolis pieds, et vous courez tous à genoux devant moi, prêts à faire, j'imagine, tout ce que je vous demande. N'est-ce pas ? »
« Oui, Maitresse. » Elle approcha un peu plus son pied à mon visage, au point que mon nez effleurait ses bas. Je voulais embrasser ce pied, mais je n'osais pas le faire.
« Je suis prête à parier que tu ferais n'importe quoi pour lécher la chaussure qui est devant toi, n'est-ce pas ? Ne t'inquiète pas, tu vas bien mériter ce privilège cette nuit. Tu risques même de finir pour en être débordé : je te charge de toutes les chaussures de mon garde-robe ; tu nettoieras chaque paire que je possède, à l'intérieur comme à l'extérieur. »
« Es-tu prêt à devenir mon serviteur ? Je dirais mieux, mon esclave? Les serviteurs ont droit à un peu de dignité dans leur rôle. Comme esclave, tu n'en auras point. Tu feras ce qu'on te dit, sans poser de questions. Tu accepteras toute punition que je t'infligerais, peu importe les raisons, et tu me remercieras pour la douleur que je te causerai. Tu souffriras sous mes talons, sans pitié, pendant des heures : j'adore l'idée de transformer l'objet même de ton adoration, de tes désirs, en instrument de torture.
Je prendrais plaisir à écraser ton cou sous mes talons, à te regarder chercher désespérément à respirer pendant que j'augmente petit à petit la pression, en tenant ton existence entre mes mains, ou, plus précisément, sous mes pieds.
Quand tu partiras d'ici, si je te permets de partir d'ici, ton corps sera recouvert des marques de mes talons aiguilles, et de mon fouet. Ta langue sera épuisée par l'usage que j'en aurai fait, pour nettoyer mes chaussures, ou pour servir de tapis à mes talons pendant que je te fouette.
Tu feras ce que je te dis, sans hésitation, peu importe combien la tâche que je te confie te paraît dégradante. À mes yeux, tu n'es qu'un accessoire à piétiner, de la poussière sous mes pieds.
Veux-tu me servir ainsi ? Si ce n'est pas le cas, tu es libre de te lever et partir, et tu ne goûteras jamais au plaisir d'embrasser ce pied magnifique qui est juste à côté de ton visage. »
Dans un état second, je m'entendais dire « Maîtresse, même si tout cela me déstabilise grandement, je suis prêt à accepter votre pouvoir et je me soumets à vous, comme votre esclave, sans condition. »
Elle rit en écoutant ça et se leva. Puis elle souleva son pied (l'autre, pas celui qui restait à quelques centimètres de mon visage), pour le poser sur ma tête. Je sentais son talon aiguille qui s'enfonçait dans mon cou pendant qu'elle pressait de plus en plus fort.
« Je te nomme donc mon esclave. Ton nom sera 'Paillasson'.
Je crois que tu trouveras ce nom approprié, au moins pour l'une de tes nombreuses fonctions futures. Tu peux embrasser mon pied, et accepter ainsi ton rôle. »
Je m'empressai d'embrasser avec passion sa chaussure, pendant qu'elle s'appuyait complètement sur mon cou, au point de lever son autre pied du sol. Et ce fut juste à ce moment que j'entendis la porte s'ouvrir et se refermer. Rosa ne bougea point, continuant d'écraser ma tête. Quand j'essayais de bouger, elle me frappa au visage avec son autre pied.
« Ne bouge pas, c'est juste ma colocataire, Sharon. Maitresse Sharon, pour toi. »
« Qu'est-ce que tu nous apportes, Rosa ? Un nouvel esclave ? »
« Il n'arrêtait pas de regarder mes pieds ce soir au pub, et j'ai pensé de le faire monter ici pour qu'il puisse regarder de plus prêt. »
« Il semble qu'il y est bien arrivé ! »
Elle relâcha enfin un peu la pression sur ma tête. J'essayai de bouger, mais elle me colla à nouveau sur le sol.
« J'ai oublié de mentionner que, comme tu as accepté d'être mon esclave, tu serviras Sharon aussi. Tu peux ramper jusqu'à elle et embrasser la pointe de chacune de ses chaussures.'
Je n'osais pas lever le regard sur elle, mais je rampai jusqu'à l'endroit d'où était venue la voix. Devant mes yeux, une paire de bottes magnifiques, blanches, montées sur de hauts talons aiguilles. Très doucement, j'embrassai la pointe de chaque botte, pour me retirer un peu en arrière ensuite, en attente d'instructions.
« Est-ce qu'il connait ses devoirs, Rosa ? »
« Il sait qu'il doit exécuter les ordres immédiatement. Il n'a pas besoin de savoir ce qu'on attend de lui, il suffit qu'il obéisse. »
« Pourquoi il n'était pas étendu par terre à côté de la porte quand je suis entrée ? Il ne sait pas que c'est une de ses tâches? »
« Je ne suis pas encore arrivée jusque-là. »
« Quel est son nom ? »
« Paillasson »
« Qu'est-ce que c'est approprié ! »
« Paillasson, viens ici et nettoie les semelles de mes bottes. Allez savoir sur quoi j'ai pu marcher en me promenant aujourd'hui. »
J'osais lever ma tête assez pour voir qu'elle s'était assise à côté de Rosa, sur le canapé en cuir. Ell'était aussi belle que Rosa, mais blonde, et elle portait un habit de cuir blanc, moulant. Ses bottes arrivaient à mi-cuisse, et elle portait des bas blancs. Elle avait croisé ses jambes, et je m'empressai de ramper jusqu'à elle, puis je tournais la tête pour commencer à lécher la semelle de sa botte la plus haute.
Elle baissa immédiatement son pied en écrasant mon visage sous sa botte.
« Espece d'ordure. Ne te lève pas vers mon pied le plus haut, tu restes toujours au niveau du pied le plus bas. Mets-toi sur ton dos, tête vers mon pied. Voilà, c'est mieux ! »
Elle plaça son pied sur ma bouche et m'ordonna de commencer à lécher.
Elle me permettait quand même de tenir son pied et de le faire bouger un peu, pour pouvoir lécher bien partout, mais elle continuait de garder ses jambes croisées, et le poids commençait à devenir difficilement soutenable.
Cela ne semblait l'intéresser aucunement : ell'était engagée dans une intense conversation avec Rose, dont je ne pouvais rien capter, vu qu'elles chouchoutaient.
Quant j'eu terminé de nettoyer sa semelle, je pris son talon dans ma bouche, et je fis de mon mieux pour le rendre propre. Je lui demandais ensuite si je pouvais m'attaquer à l'autre botte : elle changea de position, recroisant les jambes sans me prêter la moindre attention. Après un moment, je terminai cette autre botte aussi.
« Fini, Paillasson ? Bouge-toi et mets-toi au travail sur les talons aiguilles de Rosa. »
Pendant que je rampais vers les pieds de Rosa, Sharon posa ses talons sur ma poitrine, prenant un malin plaisir à les enfoncer dans ma chair. Heureusement, je portais une chemise assez épaisse, ce qui offrait un semblant de protection, mais quelque chose me disait que cela ne durerait pas longtemps.
Rosa s'amusait à me faire sortir ma langue, pour y nettoyer les s de ses chaussures, comme sur un... paillasson, justement. L'autre pied était fermement planté sur mon visage, couvrant mes yeux, et m'empêchant de bouger. Son talon s'enfonçait sans pitié dans ma joue.
Ensuite, comme auparavant, elles m'ignorèrent complètement, et retombèrent dans leur conversation.
Quand le travail sur la première semelle fut de sa satisfaction, elle bougea son pied sur mon cou, et porta l'autre chaussure à ma bouche sans trop prêter attention : à part le temps pris pour me dire de sortir bien ma langue, elle m'ignorait totalement.
Comme elle posait tout le poids de son pied sur mon cou, j'avais du mal a bien respirer, et je commençais à m'inquiéter de ma situation: j'avais accepté d'être l'esclave de Rosa, mais j'étais un peu déstabilisé par le fait de me retrouver à servir deux maitresses. J'étais en train de me demander quel genre d'humiliation et de souffrance ces deux femmes pouvaient bien avoir en réserve pour moi. Avant que je puisse y réfléchir vraiment, Rosa se daigna de m'adresser la parole.
« Enlève la chaussure, et passe-la moi : voyons voir à quoi ressemble ton travail ! »
Comme elle souleva un peu son pied, je pus la déchausser et lui donner la chaussure. Elle posa son pied gainé de nylon sur ma bouche. Je pensais que j'allais m'évanouir : son odeur était sublime. Puis elle bougea son pied sur mon front, à ma grande déception, et me regarda droit dans les yeux.
« Cette semelle parait n'avoir même pas été touchée ! Est-ce que ta bouche est en train de s'assécher, par hasard ? »
En effet, ses chaussures avaient des semelles en cuir, qui absorbaient ma salive.
« Oui, Maitresse. »
« Peut-être ceci va t'aider un peu. » Elle cracha sur la semelle de sa chaussure et la tint à quelques centimètres de ma bouche.
« Un baiser de ta Maitresse, esclave. Profites-en bien ! »
Après que j'eu léché sa salive sur la semelle, elle m'ordonna de tenir la chaussure avec ma bouche, pour qu'elle puisse se rechausser : elle enfonça son pied dans la chaussure, tout en se levant, pour finir début sur moi. Je pouvais voir droit sous sa jupe, et j'aperçus des porte-jarretelles, et une culotte de satin noir, si fin que j'avais l'impression d'y voir à travers : tout cela aggrava encore l'érection qui faisait rage dans mes caleçons.
Sharon s'en occupa tout de suite, en plaçant son pied juste aux endroits stratégiques, et en écrasant mes génitaux : ell'était juste entre mes jambes, et mettait tout son poids sur moi.
« On profite de la vue, esclave ? »
« Oui Maitresse. »
« Bien, tu auras l'occasion de voir encore mieux très bientôt. Sharon, emmenons-le dans ses quartiers. »
« Paillasson, tu ramperas derrière moi. Si je m'arrête, je veux sentir ta langue sur mes talons dans la seconde qui suit. Tu recevras vingt coups de fouet pour chaque seconde de retard. »
« Oui, Maitresse Rosa. »
Elle se retourna et commença à marcher, mais Sharon était toujours en train d'écraser mes génitaux, et je ne pouvais bouger. Quand enfin elle lâcha prise, je commencais à ramper aussi vite que possible après Rosa.
Derrière moi, Sharon me frappa avec toutes ses forces d'un coup de pied entre mes jambes : je tombais immédiatement par terre, en agonie.
« Quand tu es en présence d'une Maitresse, et tu souhaites te retirer, tu embrasses chacun de ses pieds, et tu demandes la permission de partir. Reviens ici, et demande la permission comme il se faut. »
Encore étourdi par le coup de pied, je me mis à genou tant bien que mal, et je rampais vers elle, en oubliant Rosa sur le moment. J'embrassais avec passion ses pieds, et je demandais la permission de partir. Elle me la concéda après m'avoir fait embrasser encore trois fois de suite ses bottes.
Je me tournais ensuite pour chercher Rosa : elle était à côté du bar, et je rampais aussi vite que possible pour ensuite commencer à lécher ses talons.
« Très bien : tu a réussi à accumuler déjà 620 coups de fouet, Paillasson : tu dois être très pressé d'essayer mon fouet. »
« Je suis désolé, Maitresse, mais... »
Un coup de pied violent dans mon cou me stoppa net. Toussant, je me remis à lécher ses talons. Elle ne dit rien, mais se retourna et commença à marcher à nouveau. Je la suivis, ma bouche à quelques centimètres de ses talons aiguilles qui s'envolaient devant moi, jusqu'à l'autre côté de l'appartement, puis à travers une porte et dans une petite pièce.
Cette pièce, sans fenêtres, était illuminée par des plafonniers, et elle semblait sortir du moyen age : il y avaient des crois de St. André sur les murs, plusieurs bancs recouverts de cuir, de différentes formes, des crochets enfouis dans les murs et les sols en peu partout, et un mur entier recouvert d'instruments de torture. Il y avait des fouets, des martinets, de chaînes, des menottes pour les mains et les pieds, des baillons, des cagoules, des colliers avec anneaux, et une collection impressionnante de chaussures et bottes avec des talons aiguilles encore plus hauts que ceux que portait Rosa : il devait y en avoir plus d'une centaine !
Le plafond réservait aussi son lot de bizarreries : il y avait des sortes de trapèzes qui pendaient à certains endroits, et juste en dessous, sur le sol, une série de crochets enfouis dans le béton. J'imaginais immédiatement que cela devait servir aux Maîtresses pour garder leur équilibre pendant qu'elles piétinaient sans pitié les esclaves attachés au sol.
Il y avait aussi dans un coin une sorte de wc portable, et toute une série de chaises, fauteuils et autres meubles avec des trous dans le dossier, et des bancs recouverts de cuir qui se prolongeaient environ deux mètres derrière ces trous.
Si c'était vraiment 'ma chambre', il y avait quand même quelque chose d'essentiel qui manquait : un lit. Il n'y avait rien dans tout cet ensemble d'objets qui puisse ressembler à un lit, même de loin.
Je n'eus que le temps de jeter un coup d'oeil rapide : Rosa s'était arrêtée et je me laissai immédiatement tomber au sol pour lécher ses talons.
Le sol, au passage, était du béton brut, lisse et très froid.
J'entendis le cliquetis des talons de Sharon derrière moi : elle venait d'entrer dans la pièce, mais je continuais de lécher les talons de Rosa, comme j'avais compris être mon devoir. Un nouveau coup de pied violent entre mes jambes me fit presque m'évanouir. Je me recroquevillais sur moi même, tout en essayant en même temps de continuer à lécher les talons de Rosa.
« Quand une Maitresse entre dans une pièce, tu t'empresses de ramper à ses pieds, Paillasson. »
« Mais, je... »
Et là, un coup de pied de Rosa dans le cou m'empêcha de continuer à parler.
« Souhaite la bienvenue à Maitresse Sharon comme il se doit, Paillasson.
Tu as vraiment besoin qu'on t'apprenne les bonnes manières ! »
« Mais, je... »
Encore un coup de pied, cette fois sur ma joue, violent, avec le bord de sa chaussure.
Je pouvais sentir la saveur du sang qui s'écoulait dans ma bouche.
J'essayais alors de me traîner aussi vite que possible au pied de Maitresse Sharon, et j'embrassais avec dévotion la pointe de chacune des bottes.
Malheureusement, un peu de sang coulait de ma bouche et je laissai une trace sur l'une d'elles.
« Espèce d'abruti, nettoie-moi ça immédiatement ! »
Évidemment, comme je saignais encore, mes efforts ne firent qu'empirer la situation, et Sharon s'énerva.
« Si ce sang laisse des traces, tu voudras mourir. Et cela pourrait bien arriver. Déshabille-toi, Paillasson. »
« Oui, Maîtresse. »
J'étais vraiment gêné d'avoir à me déshabiller devant deux dames splendides toutes habillées, mais je m'empressai à le faire aussi vite que possible, je mis mes habits dans un coin et je rampai à nouveau vers les bottes de Sharon, pour essayer de faire partir la trace de sang.
« Arrête, tu ne fais qu'empirer les choses. Rosa, donne-lui ses nouveaux habits. »
Les «nouveaux habits» étaient des colliers pour mes mains et mes chevilles, avec des anneaux, et un collier de chien avec une longue laisse. Rose et Sharon s'occupèrent des «m'habiller» et une fois terminé j'ai été traîné à travers la pièce vers une sorte de fauteuil à roulettes avec un dossier tournant et avec un trou ovale dans le siège.
Rosa me fit mettre à genoux sur la base, poussa ma tête dans le trou, où elle était soutenue par un appui-tête matelassé qui la poussait à ressortir un peu à l'extérieur du trou ovale, et l'immobilisa en reliant les anneaux connectés au collier de chien à des crochets sous le trou ; puis elle tira sur mes bras vers le haut, et les lia aux accoudoirs, et enfin immobilisa mon pénis sur une sorte de support saillant de la base qui le soutenait en position horizontale.
« Esclave Paillasson, c'est un véritable honneur pour toi de devenir une partie de la décoration dans la maison de deux Déesses comme nous. Ce n'est pas souvent que nous avons accordé une telle faveur à un esclave qu'on vient de recruter?.
« Merci pour votre magnanimité, Maitresse »
Rose et Sharon rirent, puis se dirigèrent vers le salon en trainant ce « meuble » qui m'emprisonnait par la laisse qui me pendait du cou, pour le placer en face du canapé.
Je ne voyais pas trop à quoi ce meuble pouvait servir, mais je le découvris assez vite : Rose et Sharon, après s'être confortablement assises sur le canapé, croisèrent leurs jambes, allumèrent leurs cigarettes puis se lancèrent à nouveau dans une intense conversation, et à un moment Sharon leva son pied et écrasa avec son merveilleux talon aiguille mon pénis, qui était depuis longtemps bien engorgé sur le support qui le soutenait.
« Ouvre . » dit-elle, tout en approchant sa cigarette de ma bouche.
J'avais déjà ouvert la bouche, en réalité, pour des raisons évidentes, et j'ai dû avaler les cendres chaudes de sa cigarette.
« Merci, Maîtresse»
« Silence, cendrier ! Les meubles ne parlent pas. »
Puis vint le tour de Rosa, qui sans rien dire écrasa simplement mon pénis, comme vous pressez la pédale d'une poubelle, et ce rituel s'est poursuivi jusqu'à l'épuisement de tout un paquet de cigarettes.
À la fin, Rosa se leva, prit les deux verres contenant les restes de leurs boissons et les vida dans ma bouche, en appuyant toujours sur la « pédale » .
Je dois dire que je lui en étais reconnaissant : ma bouche était pâteuse et asséchée par les cendres de cigarettes, et ces restes liquides étaient les bienvenus en me permettant de la rincer un peu.
Puis Maitresse Rosa poussa la chaise/cendrier en face d'une commode sur laquelle était installé un téléphone très design, s'assit, sans autre cérémonie, sur mon visage, appuya un coude sur un de mes bras attachés aux accoudoirs, et enfonça un de ses magnifiques talons sur la « pédale », croisa les jambes puis pris le téléphone et composa un numéro, tout en se balançant sur la chaise.
Bien qu'on puisse penser qu'être séparés par quelques millimètres de tissus seulement de parties du corps les plus intimes de sa Maîtresse est davantage une récompense qu'un châtiment, la réalité est bien différente : mon visage me faisait mal, sous le poids qui l'écrasait, je ne pouvais respirer qu'avec difficulté, les coudes de Rosa s'enfonçaient dans mes bras et, de plus Maîtresse Rosa prenait un plaisir tout particulier à écraser mon pénis avec ses talons.
Pourtant, emprisonné sous son magnifique derrière, écrasé sous ses chaussures et ses coudes, enivré par l'odeur du cuir, je ne pouvais me concentrer sur autre chose que sur le privilège de devenir le «trône» de ma Reine, qui en bougeant régulièrement me permettait de respirer de temps à autre, en inhalant ainsi un peu plus l'odeur de sa jupe, ce qui me faisait sombrer encore plus dans ma soumission, et me faisait presque oublier la douleur intense causée par ses talons aiguilles.
Dans ma position, je ne pouvais comprendre que des bribes de la conversation, mais j'avais retenu que Maitresse Rosa invitait des amies à venir essayer sa nouvelle ?chaise multifonction?.
Puis elle se leva et dit à Sharon : «Il n'ya pas de siège plus anatomiquement adapté pour une Dame que le visage d'un esclave. Et celui-ci est particulièrement confortable, tu devrais l'essayer ».
Sharon ne se le fit répéter deux fois, et se lança à son tour dans une série de conversations téléphoniques pendant que Rosa se changeait pour la soirée, qui s'annonçait bien plus intéressante de ce que j'aurais apprécié.
J'étais en train de m'habituer à mon rôle de siège pour dame : c'était très humiliant d'être traité comme un simple élément de mobilier, mais l'érection furieuse qui durait désormais depuis plus de trois heures revalait bien que dans le plus profond de mon être cette expérience était ce que je recherchais depuis longtemps.
Plus tard, on sonna à la porte, et Sharon se leva pour aller ouvrir, pendant que Rosa sortait de sa chambre pour venir s'assoir à nouveau sur mon visage.
« Bonsoir Pamela, bien arrivée Grace, ça va Elisabeth? »
Je me sentais perdu : c'était une réception en pleine règle qui s'organisait, et j'avais bien peur d'être l'attraction de la soirée.
« Dites donc, vous avez trouvé un nouveau siège anatomique? » Dit une des invitées.
« Oui », dit Rosa, « et il est plus commode de celui qu'on avait avant, même s'il ne connait pas encore tous ses usages : nous n'avons pas encore eu le temps de bien le programmer, mais j'imagine que vous êtes impatientes de nous aider à l'initiation. Alors, on commence la... séance? »
Toutes les dames éclatèrent en rires, et pendant que Rosa me déplaçait à nouveau à côté du canapé, les invitées se débarrassèrent de leurs manteaux et commencèrent à discuter pleines de gaieté.
Dans l'heure suivante, je fus utilisé par toutes les Dames, et j'étais désormais tellement profondément enfoui dans mon rôle que je ratais presque le moment ou Rosa proposa un 'jeu' qui me voyait dans un rôle plus actif.
« Il est de la responsabilité de tout bon siège anatomique de s'adapter aux besoins de qui l'utilise. Pour cela, il faut absolument que le siège reconnaisse la personne qui en fait usage. Or, notre cher esclave Paillasson a eu au moins une heure pour faire connaissance, et le moment est venu de voir s'il a bien appris »
Rosa abaissa une sorte de masque en soie noir sur mes yeux, et dit :
« Paillasson, nous allons maintenant nous assoir l'une après l'autre sur ton visage, et à la fin il te faudra donner l'ordre de passage précis. Pour chaque erreur, les deux Dames que tu auras offensées en les confondant t'infligeront le châtiment de leur choix : est-ce bien clair ? »
« Oui, ma Divine Maitresse »
Je pensais être complètement démuni pour ce genre d'examen, mais en réalité, chacune de ces Déésses qui m'avait utilisé m'avait empreigné de sensations diverses qui étaient restées gravées dans mon subconscient : l'odeur du cuir, ou des tissus des jupes, la façon de s'assoir, le crissement des bas quand elles croisaient leurs jambes, la forme du talon aiguille qui écrasait mon pénis, étaient toutes légèrement différentes, et à ma grande surprise, je passais le test sans aucune faute :
« Maitresse Rosa, Maitresse Elisabeth, Maitresse Pamela, à nouveau Maitresse Rosa, Maitresse Sharon, Maitresse Grace.»
« Alors là, c'est une agréable surprise, Paillasson ! Tu apprends vite, et peut-être tu pourras rester à notre service plus que prévu. Il mérite bien une prime, n'est-ce pas, les filles ? »
« Bien sûr, une prime spéciale... » Dit Pamela.
« Ta prime, cher Paillasson, ce sera de passer à la phase suivante de ton dressage sans trop de souffrances préliminaires. Dans notre cercle, nous apprécions particulièrement de pouvoir utiliser un esclave pour en tirer le maximum de satisfaction personnelle, et aujourd'hui tu pourras découvrir que même un minus comme toi peut servir, des fois, pour procurer du plaisir à une Dame. Bien évidemment, cela ne sera pas spécialement source de plaisir pour toi : ce sont plus de quatre heures que ton pauvre pénis est enflé au point d'exploser, e ce qui va se passer maintenant n'arrangera en rien ta situation. Mais cela fait bien partie de ton dressage : les hommes sont prêts à tout quand leur désir sexuel est maintenu au maximum, mais pas satisfait, pour une longue durée, et tu peux être tout à fait certain que ta frustration n'est qu'à son commencement : pendant tout le temps que tu resteras à notre service, ton désir ne diminuera pas, et nous allons bien nous assurer qu'il ne soit pas satisfait... D'ailleurs, quelle dame se donnerait la peine de satisfaire les besoins d'une ... chaise ? »
Ce dernier commentaire déchaina l'hilarité générale, et pendant que les Dames se replongeaient dans la conversation, Maitresse Rosa me poussa dans sa chambre, délia mes bras engourdis des accoudoirs juste le temps nécessaire pour faire tourner le dossier en le plaçant devant mon visage, puis les immobilisa à nouveau sur les accoudoirs.
Dans cette position, je n'aurais pas pu voir qui allait s’asseoir sur mon visage.
Maitresse Rosa se pencha sur moi, en s'appuyant sur le dossier du siège, et riva ses yeux dans les miens. Malgré le fait qu'en faisant cela un des ses seins poussa en dehors du soutien-gorge brodé, je ne puis me libérer un seul instant de ce regard dans lequel n'étais en train de me perdre de plus en plus.
« Maintenant, mon cher Paillasson, rappelle-toi bien que tu n'es qu'un élément dans le décor, au service de toute Dame qui se daigne de t'utiliser. Tu obéiras à mes amies comme s'il s'agissait de moi : est-ce bien clair ? »
« Oui, maitresse. »
Maitresse Rosa disparut de ma vue, et je pus entendre le cliquetis de ses talons aiguilles qui s'éloignait sur le parquet, puis la porte qui s'ouvra et se referma.
Je restais ainsi dans l'obscurité pendant un temps qui me parut interminable, et j'en profitais pour reparcourir dans ma tête les événements de cette journée bouleversante.
Comment était-il possible qu'une personne normale comme moi ait pu en si peu de temps s'abaisser au point de devenir un simple élément dans le décor de la maison de ces Déésses ? Plus j'y pensais, en remémorant l'attraction irrésistible que Rosa avait eue sur moi depuis le premier moment, sa manière sophistiquée de m'exciter continuellement, et comment elle avait profité de mon étourdissement pour m'enfoncer chaque instant plus profondément sous son emprise, plus je comprenais la signification des mots de Maitresse Rosa....
« Les hommes sont prêts à tout si leur désir sexuel est maintenu au maximum, mais pas satisfait, et très longtemps... »
Mais jusqu'à ce moment, je n'avais jamais rencontré une Femme qui exploite de façon si désinhibée et impitoyable la conscience de son pouvoir sur le sexe dit « fort ».
En ce moment, prisonnier de cette « chaise » qui transformait mon visage en siège, mes bras en accoudoirs, et mon pénis en douloureux repose-pieds, j'étais fous de désir, mais dans l'impossibilité la plus absolue de l'assouvir, et en même temps constamment mis en contact direct ou exposé à la vue des différentes parties du corps de la Femme qui avaient été pendant des millénaires des simples jouets entres les mains des hommes, alors que j'étais maintenant devenu, moi, un simple jouet à la disposition du bon vouloir de ces Déésses supérieures : cendrier, poubelle, siège, quoi d'autre me réservaient-elles ?
Et c'est juste à ce moment que j'entendis la porte qui s'ouvrait : le bruit net d'une seule paire de talons s'approchait. Quand ce fut plus proche, je reconnus immédiatement Maitresse Pamela par le parfum envoutant qui l'entourait, mais je ne pouvais pas encore la voir.
J'entendis le crissement d'une jupe qui remontait le long de bas de soie, et puis elle s'assit confortablement sur mon visage, en laissant retomber la jupe derrière moi : pour un bref instant, je pus apercevoir un porte-jarretelle brodé et des bas noirs transparents.
J'étais prisonnier sous Elle, ma bouche sous sa culotte, mon nez douloureusement écrasé par son pubis ; un de ses coudes s'enfonça dans mon bras droit, puis elle remonta, dans un froufrou très sensuel, sa jupe jusqu'au point ou je me retrouvai à regarder dans les yeux magnifiques de Maitresse Pamela.
« Un conseil, Paillasson. Estime-toi heureux que je daigne me servir de ton nez en ce moment, et n'ose même pas penser d'ouvrir ta bouche pour laisser sortir le moindre gémissement, et encore moins pour embrasser ou lécher les délices qui t'entourent en ce moment avec ta sale langue, même pas digne de servir pour nettoyer mes chaussures, ou tu va payer ça très cher. »
Une fois dit cela, elle laissa retomber sa jupe, et je me retrouvais dans l'obscurité à nouveau. Puis, son bassin commença à bouger, poussant mon nez à fond dans sa culotte, d'abord lentement, puis, quand Maitresse Pamela parut avoir trouvé la bonne position, de plus en plus vite jusqu'aux spasmes d'un violent orgasme, qui paraissait ne devoir finir jamais.
De mon côté, dépassé par cette situation, je m'efforçais de n'émettre le moindre son, malgré des moments de panique où je n'arrivais plus du tout à respirer, mon nez pressé impitoyablement contre le clitoris de la Dame, ma bouche écrasée sous Elle.
L'humiliation était totale : j'étais devenu un simple objet, et en tant que tel, j'étais maintenant autorisé à entrer en contact avec les parties les plus intimes de ces Dames, sans que cela les gêne aucunement, comme si j'étais un simple but de tissus, on un instrument quelconque de plaisir solitaire.
Maitresse Pamela pris son temps et se régala de deux autres orgasmes dévastateurs, puis s'abandonna un instant, épuisée, sur le « siège », avant de se lever : elle pris une serviette imbibée de parfum sur un tabouret qui se trouvait pas loin, et nettoya soigneusement le siège en cuir et mon visage ; ensuite, elle tourna autour de moi, posa avec grande précision un talon aiguille sur mon pénis, puis ajusta ses bas et son porte-jarretelles (je ne pouvais rien voir, mais le bruit ne laissait aucun doute), et répéta l'opération avec l'autre jambe.
Je l'entendis redresser et ajuster sa jupe, avant de sortir sans me daigner du moindre mot.
Une après l'autre, toutes les Dames m'utilisèrent, chacune avec son propre style, mais chacune termina avec le même rituel d'ajustement des bas en écrasant avec précision mon pénis sous ses talons. Cela dura une éternité : enivré par les odeurs intenses, par l'humiliation, l'excitation et la frustration insoutenable que ce traitement rituel et dégradant me procurait, j'étais rentré dans un état hypnotique, dont je ne voulais plus sortir, pour rien au monde.
Mais la soirée se termina enfin, la « séance » fut levée, et Maîtresse Rosa, après avoir raccompagné les invitées à la porte, rentra dans la chambre, et me traina par la laisse accrochée à mon cou jusqu'à mon « habitation », ou elle me libera de la chaise-prison.
Pendant que j'essayais péniblement de dégourdir mes articulations ankylosées, elle prit deux courtes chaînes, avec lesquelles elle relia mes poignés à mon cou avec des petits cadenas : mes mains pouvaient arriver presque à l'hauteur de mon ventre, mais pas assez loin pour que je puisse me toucher et me satisfaire tout seul.
Puis elle attacha la laisse à un crochet qui était placé en hauteur surplombant un des bancs en cuir, à côté d'une salle de bain rudimentaire et sans murs.
« Paillasson, demain, je veux te retrouver propre et parfumé, prêt à continuer ton apprentissage et prendre tes fonctions à l'intérieur du mobilier qui t'attend ici. »
Puis elle m'indiqua une chaussure à côté du banc, avec des lacets très longs.
« Quand tu auras fini de te nettoyer, tu lieras cette chaussure sur ton visage, et tu dormiras en t'enivrant avec l'odeur de mes pieds. Cela t'aidera à te rappeler ta position d'or en avant. Cela n'aidera pas ta petite érection à disparaître, mais comme tu sais désormais, c'est précisément ce que je veux. » Sans savoir pourquoi, je me jetai à ses pieds, j'embrassai la pointe de ses chaussures et de ses talons, puis elle sortit, éteignant la lumière.
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